Journal du conteur

Il n’est que l’ombre de lui-même…

Il n’est que l’ombre de lui-même, son identité dépend du soleil, des lampadaires, des flambeaux, ses maladresses sont décuplées, et il n’a plus de visage. Ses gestes ne sont que des images. Il n’est plus qu’une pure surface, et disparaît totalement dans la nuit.

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